We'll fix it in the Post

Participant∙e∙s
10 à 20 ingénieur·e·s du son, assistant·e·s son, perchistes, directeur·trice·s de production, professionnel·le·s de la postproduction son, documentaristes et autres personnes intéressées
Date et lieu
Dimanche 26 mars 2017, à Zurich
Délai d'inscription
dépassé!
Finance d'inscription
CHF 150
Langue(s)
Allemand et français, avec traduction simultanée en français
Organisation
Lea Gerber-Maurer, FOCAL

‹We'll fix it in the post› - vraiment? A l'ère de la numérisation, certains pensent que, dans le domaine du son aussi, toutes les possibilités sont ouvertes en postproduction.

En partant d'exemples concrets, deux ingénieurs du son de plateau et un expert en postproduction expliquent quels moyens et quelles possibilités ils ont aujourd'hui pour corriger un mauvais son original ou des bruits parasites ainsi que les limites et conséquences financières. Certains décors, bruits quotidiens ainsi que des planifications trop serrées rendent l'enregistrement de dialogues parfois tellement difficile qu'il faut renoncer au son original et recourir à la postsynchronisation. Quels en sont les coûts et implications pour le film en tant qu'oeuvre d'art? Intervenants et participant·e·s discuteront ouvertement des avantages et des inconvénients de la postsynchronisation.

Intervenants

Guido Keller
Ingénieur du son et co-propriétaire du Magnetix Tonstudio AG. Postproduction son e.a. de: KÖPEK (Esen Isik), CHILDREN OF THE ARCTIC (Nick Brandestini), DIE SCHWEIZER (Dominique Othenin-Girard)

Dieter Meyer
Ingénieur du son, e.a. de MORE THAN HONEY (Markus Imhoof), RIDER JACK (This Lüscher), IMAGINE WAKING UP TOMORROW… (Stefan Schwietert); Enseignant à la Zürcher Hochschule der Künste, département film, et intervenant dans des séminaires sur le son à la EB Zurich

Jan Illing
Chef ingénieur du son AMATEUR TEENS (Niklaus Hilber), NICHTS PASSIERT (Micha Lewinsky), IM NIRGENDWO (Katalin Gödrös); Enseigne l'électronique et le son original à la TTS (Tontechnikschule)

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